LUMIÈRE AU TRAVAIL

Les risques : adoption de postures pathogènes, fatigue visuelle (yeux rouges, clignement des yeux, maux de tête), détérioration …

La loi : l’éclairage est assuré de manière à éviter la fatigue visuelle et les affections de la vue qui en résultent, permettre de déceler les risques perceptibles par la vue. Les locaux de travail disposent autant que possible d’une lumière naturelle suffisante. Dans les zones de travail, le niveau d’éclairement est adapté à la nature et à la précision des tâches.

Les mesures d’éclairement sont réalisées à l’aide d’un luxmètre, le résultat s’exprime en lux. Elles sont réalisées soit par un organisme agrée pour ce type de mesures, soit par le médecin du travail/prévention, un ergonome ou un technicien en ergonomie santé au travail.

 

LOCAUX AFFECTES AU TRAVAIL et leurs dépendances VALEURS MINIMALES d'éclairement

Voies de circulation intérieures 40 lux

Escaliers et entrepôts 60 lux

Locaux de travail, vestiaires, sanitaires 120 lux

Locaux aveugles affectés à un travail permanent 200 lux

 

ESPACES EXTERIEURS VALEURS MINIMALES d'éclairement

Zones et voies de circulation extérieures 10 lux

Espaces extérieurs où sont effectués des travaux à caractère permanent 40 lux

Travaux de bureau 200 lux, Bureau de dessin, travail de petites pièces : 300 lux, travail sur écran : 300 à 500 lux si écran à fond clair, 200 à 300 lux si écran à fond sombre. Tâches très difficiles dans l’industrie ou les laboratoires : 800 lux